Respectivement spécialisé·e·s en électrophysiologie médicale, en médecine nucléaire, en radio-oncologie et en radiodiagnostic, Anik, Mathieu, Nathalie et Marie-Eve travaillent en tant que technologues au sein de la grande famille de l’imagerie médicale. Malgré leur travail essentiel, il et elles s’entendent pour dire que leur expertise est trop peu connue et reconnue. Gageons que vous leur donnerez raison après avoir découvert la richesse et l’étendue de leur savoir-faire en lisant cet article!
À l’annonce de leur profession, Judith, Lina et Maude font souvent face à une mine surprise, confuse ou dubitative – ou parfois les trois à la fois ! Enjouées et pleines de caractère, elles ne cadrent pas avec la perception que certain·e·s se font d’elles et de leurs collègues. Contrairement à la croyance populaire, les archivistes médicaux·ales ne se contentent pas de « classer de la paperasse dans un sous-sol sombre ». Présentes tout au long du cycle de vie de la donnée clinico-administrative, nos trois interviewées en sont d’ailleurs à la fois les conceptrices et les collectrices, les organisatrices et les analystes, les propagatrices et les protectrices.
En réponse aux consultations ministérielles sur l’impact de la pandémie sur la santé mentale, l’APTS a produit un avis en février dernier. Nous nous y penchions notamment sur l’incidence du Programme québécois pour les troubles mentaux sur la pratique professionnelle. Y a-t-il matière à s’inquiéter?
Alors que l’expertise des éducateur·rice·s en RAC pourrait faire des miracles pour l’adaptation et la réadaptation des usager·ère·s, celle-ci demeure tristement méconnue. Nous vous invitons à découvrir dans cette vidéo le rôle de ces personnes passionnées et leur quotidien face à un système malheureusement déconnecté des besoins sur le terrain.
Cette année encore plusieurs membres de l’APTS ont vu leurs projets récompensés par les prix « Stars du Réseau de la Santé » de la Caisse Desjardins du Réseau de la santé (Prix SRS). Dans la catégorie Performant, la première position va à un protocole de mise en position ventrale déployé en un temps record pour soulager la détresse respiratoire des personnes atteintes de la COVID-19. Geneviève Thériault-Poirier, qui pratique comme ergothérapeute au CHUM et a soumis le projet, a accepté de nous en parler.
Avec la pandĂ©mie, plusieurs membres de l’APTS ont dĂ» travailler en tĂ©lĂ©pratique, surtout dans les secteurs des services psychosociaux et de la rĂ©adaptation – qui s’y prĂŞtaient mieux, par exemple, que ceux des laboratoires et de l’imagerie mĂ©dicale. Voici un tour d’horizon des avantages et inconvĂ©nients de la tĂ©lĂ©pratique, suivi de la conclusion de notre sĂ©rie sur le tĂ©lĂ©travail.
Trois intervenantes du Centre de réadaptation en déficience intellectuelle et trouble du spectre de l’autisme (CRDITSA) de l’Estrie témoignent de ce qui est à la source de leur motivation professionnelle. Voici le portrait de cette mission, signé par une conseillère syndicale en relations de travail.
Au moment d’écrire ces lignes 7 450 personnes avaient signé la pétition lancée le 6 avril dernier, réclamant le remboursement par le gouvernement des cotisations aux ordres professionnels. Elles faisaient ainsi écho à la présidente de l’APTS qui, dans une lettre adressée au ministre Christian Dubé le 22 février, écrivait que dans le contexte de crise sanitaire, « il est inconcevable d’exiger que nos membres payent de leur poche afin d’avoir le droit d’offrir des services à la population ».
La surcharge de travail, un fléau qui dure depuis trop longtemps, a de graves conséquences sur la santé physique et psychologique de bien des membres de l’APTS. La résistance s’organise contre ce phénomène, qu’on aurait tort de voir comme une fatalité.